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<center><div class="prescadre"><div class="prescadre2" style="margin-bottom:5px;"><div class="presnom">NO RHYME</div><div class="presft">ft. KIM JUNG EUN</div></div><div class="prescadre2"><center><table><td><img src="https://78.media.tumblr.com/24adac073ef1a6feaa7730d5c56553c3/tumblr_p8mb6a1j1t1xt2qq3o3_250.png" class="presava"/> </td><td><div class="presinf "><t1>nom, prénom ❧</t1> no, agression momentanée d'une syllabe égarée et tu te présente comme négation d'un univers perdu que tu sais être ton foyer. tu as la pensée rythmée, le coeur affolé quand on vient à consumer la mélodie de ton prénom ; rhyme. d'une traite on chante l'allure de tant d'années perdues lorsque ton sourire s'étire pour liquidé la dernière faveur qu'ils pourraient te donner. <t2>âge, naissance ❧</t2> un sarcophage de 20 ans d'âge, la cloison d'âme déchirée pour une jeunesse émiettée dans d'atroces revendications, quand le parjure a brisé les douceurs enfantines, le regret pas même énoncé ; les rêves étoiles bien enfouis sous les couches de tes années d'animosités. <t1>origine, nationalité ❧</t1> la plante de pied qui n'a foulé que l'île de ton sang, Jeju comme seul domaine, Jeju comme seule tortionnaire, le coeur nourri à l'air infernal d'un bout de terre condamnateur, la fuite jamais évoquée, l'ancre soudée à l'eau salée. <t1>orientation ❧</t1> à celle ou celui qui serait tout te donner tu ne rendrais qu'emprisonnement à tes songes malmenants, qu'ils s'engouffrent dans leur amour pâli, il t'est dû. princesse découronnée par sang-partagé, tu plaideras les craintes des autres, caressera tendresse à leur âme, pourvu qu'ils t'aiment, pourvu qu'ils en dépendent. <t2>occupation ❧</t2> vile vagabonde, tu pioches dans les caisses, tu piques dans les coeurs, mais tu ne saurais te soumettre à une isolatrice autonomie. pourtant, tu apprends l'art d'être, l'étude du comportement humain pour corrompre un peu plus, semer la dépendance chez chacun, psychologie de vie. <t1>situation monétaire ❧</t1> tu as le trou dans la poche mais la main agile – la vie dérobée par la notion de besoin, l'envie fleurie d'en remettre à quelqu'un.  <t2>lieu de résidence ❧</t2> quartier sud, les vagues qui s'échouent sur des falaises escarpées et soudain résonne le grondement d'un soulevât contre l'impérialisme quand le miasme les a déjà bien attaqué. l'électricité crispante, tu as fui dans le confort offert, opportuniste aux pattes d'un kei que tu chéris secrètement <t1>signe particulier ❧</t1> la chevalière pionnière à l'annulaire, quand la lettre N a chuté pour ne laisser que les ossements d'un souvenir chéri, l'espoir honteux d'en revoir les racines – les racines d'un empire déchu. <t2>groupe ❧</t2> titanium freaks ; la colère déversée, la frustration chantée, la peur pointée. <br><br><t1>intéressée par les défis secrets ❧</t1> oui</div></td></table></center><div class="prescara "><center><tc1>chasseuse d'attention</tc1> ; <tc2>cruellement passionnée</tc2> ; <tc1>ardente colérique</tc1> ; <tc2>déterminée sauvage</tc2> ; <tc1>dépendante affective</tc1></center>
ce qu'on fait dans le noir ; des doigts fragiles qui s'invitent sur des effleurement interdits, la valse d'un contraire perfide quand elle te fait espérer une nuit de secrets intimes pour autant que tu lui offres échos mensongés d'admiration illégitimes. les coeurs déchirés s'allient sous la coupole meurtrière d'un avenir miroir, rassure-moi, dis-moi toutes ces belles choses et elle revit sous l'abrupte envie de te vider de tout ce que tu ne voudrais lui dire mais qu'elle veut entendre à tout prix. Poupée enchantée d'esprit égoïste la colère l'embrasse quand tu refuse ineptie à son âme creusée et les fantômes d'amour éconduits traversent la guérilla de sa rage pulsée dans une orde d'acidité pour ce qui lui a toujours échappé. Plie, elle s'apprête à te détruire pour vu que tu lui chuchote les vérités qu'elle s'engage à te soutirer sous le joug du vice libéré lorsque sa main te frôle dans des promesses déchues, car ce soir à nouveau, elle ne te donnera rien.  


corps électrique, coeur isolé Ϟ˙ sms délurés, attention recherchée Ϟ˙ amour sans nom pour leur chat à la garde partagée ; sunday Ϟ˙ voue une obsession pour son cousin Ϟ˙ excellente joueuse de poker Ϟ˙ s'est déjà faite prendre en train de voler, mineure Ϟ˙ tendresse pressée de ses lèvres, vérités hachées de sa langue Ϟ˙ violente dans ses gestes, les yeux suppliques de douceur Ϟ˙ l'allure frêle, l'audace d'une lionne en cage Ϟ˙ pratique la pole dance en toute sobriété Ϟ˙ colocation houleuse avec celui qu'elle considère plus qu'elle ne voudrait l'admettre, wu kei Ϟ˙ dans leurs traces elle pose ses pas, c'est à sacha, kei et lua qu'elle crie émois, ceux qu'elle ne quitte pas Ϟ˙ relations tenues par les chaines d'un lourd secret, elle ne s'en détachera sûrement jamais Ϟ˙ excédée par sa passivité à son égard, elle en est déjà venue à frapper son cousin Ϟ˙ dépend de tout et tous, être mal-bâti, elle ne vit que pour vous.


les houles au coeur, la vague à l'âme et elle s'égard dans sa jeunesse malmenée les ongles enfoncés dans le regard posé sur sa carcasse. réelle médusa vivante, elle agrippe les cygnes de tes pensées pour ne plus les lâcher, te pétrifie pour ensuite te nourrir et il y a ces caresses qu'elle fait à ton coeur blessé qui te font te questionner. mais le jeu gratte les cordes de vos liens dans un tempo archaïque qui ne répond qu'à son besoin le plus primitif ; peuplé ta tête de ses yeux bannis. et elle est désormais sans foyer, terrifiante vagabonde à la tendresse malsaine aux creux de ses traits, pourvu que tu l'aimes, pourvu que tu la supplies.</div><table><td><div class="presjoueur"><center><div class="prespseudo">GIZNIEE</div></center><div class="presif">18 ; inventée ; avatar.kozmic jumble ; logo.sial</div><div class="presjoueur2">vous êtes si beaux oh la la, j'fonds déjà :ouin:  </div></div></td><td><img class="presicon" src=« https://78.media.tumblr.com/1a62dbb621ca9b3a0c6f2c0afd7a1d21/tumblr_p1r7lrEbVi1wu7qrco9_100.png"></td></table></div></div></div>

<center><div class="hiscadre"><div class="hiscadre2"><div class="histitre">éclipse éternelle</div><div class="hiscita"> so move a little closer to me </div><div class="his "><table><td><img src="https://i.pinimg.com/564x/ee/5b/d9/ee5bd9dbb86f80a9a2c121336a75b26a.jpg" class="hisgif"/></td><td><img src="https://i.pinimg.com/originals/77/71/65/7771651e846df9bdfa42566f822576f8.gif" class="hisgif"/></td> <td><img src="https://i.pinimg.com/564x/4a/db/08/4adb08a967158cea8dc985bab6d0619d.jpg" class="hisgif"/></td></table>
     
    <t1>LA CHUTE</t1>  ; douceur insipide à la douleur, quand le palace s'encombre et s'effondre dans des relents de frénésie ; pour autant qu'elle ait le coeur chéri, la main ouvrière, la famille derrière, rien n'est malheureux. la tendresse comme plus belle des misères, elle s'anéantie pour les êtres qu'elle aime, embrasse la léthargie de son monde pour la chaleur de son foyer pauvre. quand soudain, il y a le vent qui tourne, qui gifle, qui gronde – sacha, le martyr orphelin qui débarque, allure fantomatique, l'âme lessivée et elle lui veut le bien de sa famille, pour celle qui l'a perdue. trou noir vivant, il aspire la gaité du séjour, avale la chaleur des repas, sème le miasme, invoque le 9ème cercle de Dantes chez elle, chez ses parents. 

et elle perd, la totalité de son trône enfantin, les brumes recouvrent ses songes innocents, la partance de sa douceur rongée d'un acide furieux quand les yeux aimés la quittent pour être livide. quête d'attention, tréfonds d'une éternelle insatisfaction quand elle sombre dans des jeux perfides, quand elle s'offre à la colère la plus ardente parce qu'elle voudra leur addiction la plus loyale, pour combler abysses infernales.

   </div></div></div></div>